Un peu l’écart sur la rive gauche du Tarn, on y accède par un pont en dos d’âne, et les maisons du village se regroupent le long d’une rue étroite.
La logique d’aménagement serait de dire que les constructions se sont organisées de part et d’autre du chemin unique, permettant d’accéder depuis le pont au sanctuaire marial de la collégiale et de son petit monastère.
Le flux des pèlerins et les activités agropastorales locales auraient ensuite généré les constructions nécessaires à la satisfaction de leurs besoins socio-économiques et qui se traduisent aujourd’hui par toutes ces pittoresques maisons anciennes, que l’on peut admirer tout au long de la rue principale.
La découverte miraculeuse de la vierge noire entraîna la construction de l’église et la descente des habitants dans la vallée pour s’installer à proximité.
Aujourd’hui, si le pèlerin se fait plus rare, Quézac vit entre autres du tourisme et des retombées économiques liées à l’embouteillage de son eau minérale.