En clôture de l'exposition de Nathalie Massenet dans l'église Romane. "Plutôt que de maudire les ténèbres, allumons une bougie, si petite soit-elle" disait Confucius. Une nouvelle Leçon des Ténèbres, à la bougie. Ainsi, au cœur de l'alphabet hébreux mis en musique par François Couperin au début du XVIIe siècle, un programme très intimiste et singulier, avec des pièces du début du XXe siècle de Kurt Weill à Francis Poulenc en passant par Rachmaninov.
Juliette de Massy - Soprano et Bogdan Nesterenko - accordéon.